Il y a eu des périodes très offensives, comme dans les années 80, et des périodes très défensives, comme dans les années 2000.
Lorsqu'on fait le ratio des points par partie d'un joueur sur le nombre de buts par partie, on obtient son taux de participation moyen aux buts, ce qui permet de mieux comparer les exploits à travers les générations.
Par exemple, s'il se compte trois buts par partie en moyenne dans la ligue et qu'un joueur obtient un point par partie, il obtient un taux de participation aux buts de 33 %.
Depuis l'expansion de 1967, il est arrivé 54 fois seulement qu'un joueur a atteint un taux de participation aux buts supérieur à 50 %, exploit réalisé par 20 joueurs seulement.
Or, cette année en est une d'exception. Pour la première fois depuis la saison 1996-1997, trois joueurs sont en voie d'atteindre 50 % de participation aux buts marqués. De plus, trois autres joueurs suivent de près et pourraient atteindre ce résultat.
Il n'est arrivé qu'à trois reprises que trois joueurs ou plus ont maintenu un taux de participation aux buts de plus de 50 % dans la même année : 1971-72, 1988-89, 1996-97.
L'année 2019-20 pourrait donc devenir une année d'exception pour les meilleurs joueurs offensifs du circuit.
SONDAGE | ||
Est-ce que le rendement exceptionnel des meilleurs joueurs rend le hockey plus intéressant cette année? | ||
Oui | 125 | 70.2 % |
Non | 53 | 29.8 % |
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