C'est depuis presque un mois que les équipes sont « enfermées » dans les bulles à Toronto et Edmonton.
Pour les joueurs cependant, c'est tout à fait différent : ça fait 27 jours qu'ils n'ont pas vu leur famille et leurs amis. C'est donc très dur mentalement pour eux.
Selon quelques sources, les familles pourraient joindre la bulle lors des finales d'Association si la LNH juge que c'est assez sécuritaire.
Ça fait du sens, sachant que 16 des 24 formations qui ont fait partie de la bulle auront quitté d'ici là.
Bowness a même rajouté que la LNH a fait un travail colossal pour assurer la sécurité des joueurs et des membres du personnel, mais que rester confiné dans un espace limité sans voir sa famille peut être très difficile mentalement.
Il a même rajouté que parfois, tu peux croiser des joueurs adverses. Donc n'imaginez même pas si deux gars, qui se sont livrés une bataille le soir d'avant, se croisent dans les couloirs de l'hôtel.
Les Stars et l'Avalanche croiseront le fer samedi, dès 20h à Edmonton. Eh oui, même si la première ronde n'est pas terminée. Avec une victoire des Canadiens ou des Blues vendredi soir, le match ultime de leur série ne sera disputé que dimanche.
Dans des saisons normales, ce genre de situation n'arrive jamais (la deuxième ronde commencent quand la première est terminée), mais évidemment, avec l'horaire très chargé et le fait qu'il n'y ait que deux arénas où les équipes peuvent jouer compliquent réellement la tâche.
Il faut rajouter aussi que, selon les dernières mises à jour, la prochaine saison commencera le 1er décembre.
Bref, le périple pour l'entraîneur des Stars n'est pas terminé, lui qui devra rester (au moins) une semaine de plus.
Point positif : il est à 12 victoires d'une Coupe Stanley!
Crédit TheScore :
Stars' Bowness: Living in bubble is 'mentally tough'