D'origine anglophone, cette vedette chez les Islanders s'exprime très bien en français
C'est ce soir que les activités entourant le Match des étoiles de la LNH s'amorceront, alors que se tiendra le traditionnel concours d'habiletés.
Bien que cet événement perd en popularité depuis quelques années, il n'en demeure pas moins qu'il s'agit là d'un bon week-end pour apprendre à en connaître davantage sur les vedettes du circuit Bettman.
D'ailleurs, c'est dans le cadre de ses festivités qu'on a pu constater dans une entrevue avec Renaud Lavoie que non seulement le joueur de concession des Islanders, Matthew Barzal, est bon sur la glace, mais il l'est également pour s'exprimer dans la langue de Molière:
Dans l'entrevue que vous pouvez entendre de façon intégrale en cliquant sur le lien ci-dessus, le numéro #13 des Isles parle de son appréciation des chandails du Matchs des étoiles, de son amour d'évoluer pour sa formation.
Ainsi que de l'interrogation entourant le futur domicile des Insulaires et de sa grande amitié avec le Québécois Anthony Beauvilier.
En effet, c'est ce dernier qui aide Barzal à parfaire sa maîtrise du français, en plus d'être celui avec qui il passe la grande majorité de son temps lors de la saison régulière, eux qui se considèrent comme des meilleurs amis depuis leur entrée dans la grande ligue.
Alors que les parents du natif de la Colombie-Britannique sont de purs anglophones, où est-ce que le centre de 6 pieds et 189 livres a bien pu apprendre à parler le français de la sorte?
Cette information provient d'un tweet de Pierre Lebrun datant de décembre 2017 dans lequel le réputé informateur mentionne que ses parents l'ont envoyé dans un camp en immersion de la langue française dans sa ville natale, à Coquitlam, lorsqu'il était enfant.
Selon Barzal, la raison ayant motivé ce geste de ses parents proviendrait principalement du paternel, alors que l'attaquant des Islanders est convaincu que son père a toujours espéré secrètement que son fils puisse évoluer un jour pour le Canadien de Montréal:
Parions que le Tricolore ne refuserait pas le grand talent de Matthew Barzal lui qui, malheureusement, a été repêché au 16e rang en 2015 par les Islanders. Le Ch, quant à lui, détenait la 26e sélection cette année-là, jetant ainsi son dévolu sur le défenseur Noah Juulsen.
Néanmoins, comme le mentionne Marc-Olivier Beaudoin, espérons que le père de Barzal puisse influencer son garçon lorsque celui-ci sera libre comme l'air dans quelques années:
Bref, vous aurez certainement l'occasion d'entendre à plusieurs reprises Barzal s'exprimer en français lors du week-end des Étoiles, lui qui représentera la division métropolitaine lors de l'événement.
En 49 rencontres cette saison, le pivot de 21 ans enregistre 45 points, dont 14 filets, ayant néanmoins un différentiel de -4.
