En fait, elles se chiffrent à 1,1%. Ce qui veut donc dire que le Tricolore manquera pour une troisième année consécutive cette chance de remporter les grands honneurs.
Les partisans recherchent donc un bouc émissaire afin de se dégager de cette frustration. Claude Julien se manifeste à être celui-ci.
D'ailleurs, pour ne pas aider sa cause, les recherchistes de l'Antichambre ont déniché une statistique intéressante à son sujet.
Au cours des six dernières campagne, l'originaire de l'Ontario connaît des difficultés à qualifier son équipe pour les séries éliminatoires.
Il a réussi à le faire qu'à une seule reprise alors qu'il a remplacé Michel Therrien lors de la saison 2016-2017.
Il quittait alors une formation ne participant pas au bal printanier pour une autre siégeant au sommet du classement dans l'Est. Les Bruins ont finalement accédé aux séries.
Ce passage en séries n'aura été qu'éphémère puisque le CH a perdu en six rencontres contre les Rangers de New York.
En saison régulière, le rendement n'est guère mieux, puisqu'il a remporté seulement 111 des 239 parties qu'il a dirigées. Ce qui le place sous la barre des 500.
Bref, depuis que son équipe a perdu en finale de la Coupe Stanley, il connaît un certain passage à vide. En excluant la saison suivante où il a perdu en deuxième ronde, il peine à trouver le chemin de la victoire.
Tout cela a débuté alors qu'il était à la barre des Bruins et ça ne s'est vraisemblablement pas arrangé.
Il semble avoir de la difficulté à trouver des solutions potentielles et cela le rend nerveux. Il suffit de remarquer ses dernières prestations devant les médias pour le remarquer.
Avec une troisième année consécutive sans participation aux séries, les partisans veulent voir des têtes tomber et celle de Julien semble être la prochaine.
Pour l'entraîneur-chef des Canadiens, il s'agira d'une cinquième occasion en six années, une statistique peu reluisante pour un instructeur.