Ce dernier a été remplacé, par intérim, par le Québécois Alain Nasreddine qui était déjà derrière le banc de l'équipe à titre d'entraîneur-adjoint de la formation depuis 2015-2016.
Avec ce changement d'entraîneur, l'attaquant dont le nom sort dans la plupart des rumeurs de transaction, Taylor Hall, en est maintenant à son huitième coach en chef dans la LNH.
Le tout en seulement dix saisons dans la grande ligue. Un entraîneur-chef qui dirige une formation dans laquelle Hall est présent a donc une durée de vie de 1.25 années.
Le lot d'entraîneurs adjoint que Hall a vu au cours de sa carrière dans la LNH est également impressionnant.
Ce n'est, bien sûr, pas seulement la faute de Hall si un entraîneur est congédié, mais nous pouvons avouer que la statistique est frappante. Il y a plusieurs autres facteurs, outre l'attaquant albertain, qui entrent en jeu lors du licenciement d'un entraîneur-chef.
Il ne faut également pas oublier que Hall a évolué à Edmonton pendant six saisons, durant une des pires phases de l'histoire du club.
Après la partie, le numéro 9 des Devils a bien voulu commenter le congédiement de Hynes. L'attaquant s'est dit surpris de la situation et donne crédit à son ancien entraîneur-chef pour le trophée Hart qu'il a remporté lors de la saison 2017-2018.
Hall pense également que Hynes retrouvera du boulot dans la LNH dans un avenir rapproché. A-t-il seulement sorti « la cassette »? À vous de juger.
Les Devils n'ont pas pu donner un premier gain à leur nouvel entraîneur-chef mardi soir, eux qui se sont inclinés à la régulière 4-3 contre les Golden Knights de Vegas.
L'équipe du New Jersey menait toutefois 2-1 quand elle a entamé la troisième période.
Avec cette autre défaite, la troupe de Nasreddine occupe toujours les bas fond de la LNH au 30e rang de la ligue, cinq points devant les piteux Red Wings de Détroit.