Michel Bergeron ne s'ennuie pas d'Alexander Radulov
L'été 2017, un moment rempli de honte pour le Canadien, qui a non seulement acquis Jonathan Drouin et Karl Alzner, mais où il a également vu les joueurs Andrei Markov, Alexander Radulov et Mikhail Sergachev s'en aller.
Radu a quitté l'organisation au profit des Stars de Dallas et son départ a fait très mal au Tricolore, sur le coup.
Aujourd'hui, on entend encore parler du numéro 47 lorsque le Texas s'amène au Centre Bell, mais sans plus. Michel Bergeron ne s'est pas gêné pour critiquer le Russe sur son jeu en pente descendante.
Bergy se dit même heureux pour le CH de ne plus l'avoir dans les pattes.
Il faut dire qu'il a raison lorsqu'il dit que Radulov a ralenti. Les deux premières saisons de l'attaquant dans l'uniforme vert ont été ses meilleures campagnes offensives, mais cette saison, on ne parle plus du même joueur.
Il est question de 72 points à chacune de ses deux premières saisons passées aux côtés de Jamie Benn et Tyler Seguin. Cette année, ce sont 34 points qui se trouvent sur sa fiche de statistique.
Ce n'est même pas la moitié de son score précédent.
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À sa défense, il faut dire que ses coéquipiers, Jamie Benn et Tyler Seguin, ont connu l'une de leurs pires campagnes, respectivement, donc l'ancien du Canadien n'est pas seul dans la critique.
Critiques souvent répétés par le président du club, Jim Lites, d'ailleurs.
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Dans une parenthèse, il faut dire que l'offensive du club ne compte plus seulement sur les succès des trois attaquants cités.
C'était un problème qui datait de trop longtemps, mais les Stars ont maintenant la chance de compter sur les succès des surprenants Denis Gurianov et Roope Hintz, notamment.
En bref, même si Bergy a effectivement raison sur le ralentissement d'Alexander Radulov, il faut tout de même souligner l'importance du produit des Predators de Nashville qui a, encore ce soir, offert deux buts à son club dans la victoire ultime de l'équipe contre l'Avalanche du Colorado.
C'est aussi un total de 11 points en 16 rencontres éliminatoires. Ainsi, on peut clairement affirmer que le Russe en a encore dans le ventre.
Crédit TVA Sports :
«C'EST UNE BONNE DÉCISION DE BERGEVIN»
Crédit Journal de Montréal :
Le bon message, pas le bon langage
