Ce ne sont pas les seules activités qui seraient épargnées, selon une source bien informée.
C'est ce que le chroniqueur Maxime Truman, du site Danslescoulisses.com, a dévoilé mercredi matin. La nouvelle est tombée comme une bombe sur les médias sociaux.
Ce n'est pas un secret pour personne, le premier ministre François Legault est un partisan invétéré du Tricolore.
Devant la hausse de cas positifs liés à la COVID-19 dans la Belle Province depuis Noël, le gouvernement du Québec n'a eu d'autre choix que de durcir le ton.
En plus de prioriser un confinement total jusqu'au 8 février, le Québec franchira une ligne qu'il n'avait jamais atteinte depuis le début de la gestion de la pandémie, soit celle d'imposer un couvre-feu aux Québécois.
Le couvre-feu empêcherait quiconque ne travaillant pas dans un service jugé essentiel de se trouver à l'extérieur de son domicile selon la période ciblée par Québec.
Plusieurs rumeurs prévoient un couvre-feu entre 19 h 30 et 6 h du matin, alors que d'autres abordent la possibilité de 20 h.
Somme toute, la France et l'Allemagne ont pratiqué ce concept pour vaincre la pandémie actuelle. Impossible de savoir si la situation aurait été pire sans ce coup de barre.
L'analyste politique Martine Biron a annoncé les différentes mesures prévues lors de l'annonce de Québec à 17 h mercredi.
Qu'est-ce que le Tricolore devra faire à partir de samedi prochain, soit le 9 janvier? Le 13 janvier, l'équipe amorcera sa saison écourtée de 56 parties sur la route, eux qui devront se rendre à Toronto pour disputer la première rencontre du calendrier, mercredi.
Selon la source de Truman, les stations de ski, les plateaux de tournage, certains chantiers de construction et les Canadiens de Montréal ainsi que son club-école pourront poursuivre leurs activités malgré les nouvelles mesures liées au confinement.
Même chose pour le couvre-feu!
Certes, les partisans de la Sainte-Flanelle seront heureux d'apprendre cette nouvelle.
Toutefois, fort à parier que les oppositions du gouvernement, les personnes qui ne portent pas le hockey dans leur coeur et toutes personnes indifférentes à ce sport risquent de critiquer ce passe-droit.
Reste à voir si le gouvernement du Québec ne reviendra pas sur sa position. Ce ne serait pas la première ni la dernière fois