David Perron explique les succès de son entraîneur avec des termes assez québécois
Les Blues étaient derniers au classement général de la LNH à la mi-saison, mais les changements effectués à la formation ont porté fruit et ils ont terminé en lion.
Ils se sont même permis de devenir une équipe aspirante aux grands honneurs.
Ce n'est pas pour rien que trois joueurs des Blues sont en nomination pour des trophées, dont un des noms qui sort deux fois.
En effet, Ryan O'Reilly est finaliste pour les trophées Selke et Lady Bing. Les deux autres sont Craig Berube pour le Jack Adams et Jordan Binnington pour le Calder. À pareille date l'année dernière, les trois hommes ne faisaient pas partie des plans de l'équipe. C'est donc dire à quel point les changements ont été bénéfiques.
Ce qu'ils ont en commun : les trois ont eu un impact immédiat avec les Blues. Malgré le début de saison catastrophique à St-Louis, O'Reilly était tout de même dominant. Dès la venue de Berube, en novembre, les choses ont commencé à changer et l'équipe a commencé à gagner, sans oublier Binnington qui a été époustouflant depuis son rappel du club-école.
Questionné au sujet des succès de son entraîneur-chef, notamment sur sa décision d'effectuer des changements à la formation, dont celle de faire jouer Samuel Blais au 6e match, David Perron n'avait qu'une chose qui lui venait en tête :
Il s'agit d'une déclaration typiquement québécoise que nous comprenons très bien par chez nous!
