Cette chronique hebdomadaire nous en apprend davantage sur les coulisses de la LNH. Dans l'édition d'hier, nous en apprenions un peu plus sur le style de gestion du Lightning de Tampa Bay.
En effet, Friedman utilise plusieurs «Thoughts» afin de décrire la situation actuelle du Lightning.
Il nous informe en entrée de jeu que l'Association des joueurs de la LNH (NHLPA) a encore sept semaines afin de décider si elle ira en appel de la décision du Lightning de racheter le contrat de Jake Dotchin.
Est-ce que la NHLPA peut vraiment laisser passer ça? On se rappelle que Dotchin s'est fait racheté son contrat car il était arrivé au camp d'entraînement avec 25% de gras.
Tampa Bay a indiqué que Dotchin a brisé les conditions de son contrat en arrivant au camp dans un mauvais état de santé. Ce précédent pourrait ouvrir la porte à d'autres situations du genre.
Comme un dg le la LNH l'a dit en privé à Friedman: «Que se passe-t-il si une équipe est tannée du contrat d'un joueur et que ce joueur ne peut pas faire de pompes? Sera-t-il coupé aussi?»
Afin de démontrer que le Lightning est une organisation stricte, Friedman parle d'une situation avec Jonathan Drouin suite à son échange à Montréal en 2017.
Dans son contrat, Drouin avait un bonus s'il avait une moyenne de points par partie de 0.73 et plus.
Lors de la saison 2016-2017, il a fini avec une moyenne de 0.726. La direction du Lightning ne voulait pas arrondir et stipulait que la moyenne de Drouin était sous la limite.
Le tout s'est conclu suite à la décision d'un arbitre qui a déterminé que Tampa Bay devait payer 90% du bonus de 212 500 dollars.