Kent Hughes a été aperçu en compagnie d'un invité spécial en après-midi et c'est le directeur général de Timra

PUBLICATION

William Nadeau
15 octobre 2024 (17h21)

Comme l'ont rapporté de nombreuses sources, dont TVA Sports, le directeur général du Canadien de Montréal Kent Hughes a été vu avec un invité spécial au Centre Bell.

Lors du plus récent entraînement du Tricolore, Kent Hughes a effectivement été vu dans les gradins, accompagné de nul autre que Kimmo Kapanen, le père d'Oliver Kapanen.

Mais surtout, ce dernier est également le directeur général de la formation de Timra IK en Suède, soit l'équipe qui « attend » le retour d'Oliver Kapanen en Europe.

Est-ce qu'il y retournera un jour? Telle est la question, mais n'empêche que ça a fait jaser de les voir ensemble.

Kent Hughes aperçu avec le père d'Oliver Kapanen et le directeur général de la formation de Timra IK en Suède

C'est quand même spécial de voir que Monsieur Kapanen a traversé l'océan Atlantique, afin de venir voir son fils, alors que sa propre équipe en Suède était également en action.

On adore! C'est vraiment beau à voir.

Au sujet de la visite de Kimmo Kapanen, l'informateur de TVA Sports a mentionné ceci:

« C'est important qu'on parle de lui, car Kimmo, c'est son prénom, il ne faut pas oublier qu'il est le DG de l'équipe de Timra dans la ligue de Suède, où justement si Oliver [Kapanen] est cédé en Europe, il s'y retrouverait. »

- Renaud Lavoie

Rappelons que, jusqu'au 7 décembre inclusivement, les Canadiens de Montréal sont obligés de garder Oliver Kapanen avec le grand club, sinon, il devra être retourné en Europe.

Passé cette date, il sera éligible à jouer avec le Rocket de Laval. Chose certaine, les communications entre Timra et Montréal semblent être excellentes.

« Je pense que c'était une discussion relativement importante. [...] Si jamais d'ici deux ou trois semaines il y a une baisse dans son jeu, on a déjà une relation de faite avec le papa qui est en ville. » - Renaud Lavoie

Ce sera un dossier à surveiller, mais s'il continue de jouer à un tel niveau, je ne crois pas que le père de Kapanen le reverra en Suède de sitôt.

Une chronique très intéressante.