Un passage à Montréal inoubliable pour le défenseur des Blues
Marco Scandella ne garde que des bons souvenirs de son expérience passée dans la métropole avec l'organisation de son enfance.
En entrevue avec TVA Sports, le Montréalais de 31 ans a chéri son expérience, même si ce ne fut que 20 matchs en 2019-2020.
« Pour moi, Montréal c'est le Saint Graal! Toutes les émotions que j'ai vécues au Centre Bell, c'est indescriptible », a-t-il raconté dans un entretien téléphonique avec le TVASports.ca.
Il a même ajouté qu'il aurait aimé pouvoir vivre une expérience plus longue dans sa ville natale. Il avoue que les parties au Centre Bell avaient une saveur particulière.
« Les 10 parties à domicile, c'était tellement excitant. C'était comme un flash! On dit que le temps passe rapidement quand tu t'amuses. Montréal, c'était ça. Mes souvenirs sont vagues tellement ç'a passé vite. J'ai eu trop de plaisir! »
Son seul véritable regret fut de ne pas vivre la fièvre des séries éliminatoires à Montréal avec des partisans dans les gradins.
Son oncle, Sergio Momesso, a porté l'uniforme bleu-blanc-rouge lors de la 23e conquête de la Coupe Stanley de l'organisation en 1986.
« Je ne peux imaginer vivre l'expérience des séries avec des partisans dans les gradins, admet-il. Juste d'avoir porté l'uniforme, c'est quelque chose en soi. Peut-être qu'un jour je serai de retour, on ne sait jamais! »
Pour le petit gars qui a grandi dans le quartier Notre-Dame-de-Grâce à Montréal dans les années 90, l'expérience de jouer pour la Sainte-Flanelle, ce fut excellent.
« Si j'avais joué en séries, je ne sais pas ce qui serait arrivé. Ç'a toujours été mon rêve de jouer à Montréal. Mon oncle l'a fait et il a gagné la coupe. C'était une fierté d'y jouer aussi.
C'était le rêve ultime pour moi », explique celui qui a paraphé une prolongation de contrat de quatre ans avant les dernières séries.
« C'était une année étrange, explique-t-il. J'ai été échangé et je pouvais devenir joueur autonome. Je ne savais pas ce que j'allais faire. »
C'était le rêve ultime pour moi », explique celui qui a paraphé une prolongation de contrat de quatre ans avant les dernières séries.
« C'était une année étrange, explique-t-il. J'ai été échangé et je pouvais devenir joueur autonome. Je ne savais pas ce que j'allais faire. »
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