Surtout que le basketball et le hockey seraient actuellement en séries éliminatoires pour ultimement couronner le champion de la saison 2019-2020.
Cependant, la santé des individus est plus importante et la population le comprend très bien.
Alors que le Canada et les États-Unis parlent de déconfinement progressif, la population, qui se fait dire depuis plus d'un mois que le virus est dangereux et qu'il faut rester à la maison, craint pour sa sécurité.
Afin de rassurer les gens, les différents gouvernements tentent de trouver les mots justes pour les déprogrammer de cette idée et repartir l'économie.
C'est dans cet aspect que les propos du pilote des Flyers de Philadelphie, Alain Vigneault, peuvent être intéressants.
Selon ce dernier, la reprise du sport permettrait, d'une certaine façon, un retour à la normale.
Si le circuit Bettman reprend ses activités, cela permettra effectivement à la population de se sentir dans un environnement davantage normal.
La reprise de l'économie pourrait alors être faite avec une certaine approbation du public, puisqu'il aurait l'impression de revenir vers sa vie avant que le coronavirus soit présent.
En ce qui concerne les entraîneurs, ces derniers devront être en mesure de rapatrier leurs joueurs pour qu'ils soient prêts à la suite des trois semaines que la LNH prévoit donner aux organisations.
Si les joueurs peuvent retourner compétitionner pour la Coupe Stanley, les formations auront droit à trois semaines d'entraînement avant de disputer une partie.
Le Québécois de 58 ans est resté en contact avec son équipe d'entraîneurs en prenant en considération tous les scénarios possibles.
Puisque son équipe derrière le banc est très expérimentée, il croit que cela donnera une chance aux Flyers de continuer sur sa lancée.
Avant l'arrêt des activités le 12 mars dernier, l'organisation de la Pennsylvanie avait remporté neuf de ses dix derniers départs.
Cette formation accusait un retard d'un seul point derrière les Capitals de Washington qui se situent au premier rang de la division Métropolitaine.
Crédit: Philadelphia Inquirer