« Tu emmènes ton mousse, ta fille, ton fils, une compagne peut-être à un match. Une fois ou deux fois par année. Et tu n'as pas assez d'intelligence pour comprendre que c'est 4-3?
Que ces gars-là se donnent à 100%. Que ton mousse, assis à tes côtés, te dise: ''Papa, il y a encore de l'espoir''. Tu ne laisses même pas à ton mousse la chance de vivre un des matchs les plus spectaculaires depuis cinq ans. »