Jesperi Kotkaniemi, une fierté pour sa mère
La mère de celui que l'on surnomme «Kotky» aime bien son expérience depuis son arrivée à Montréal.
Quand on habite à plus de 6000 km de son fils de 18 ans, il est normal de s'en faire, surtout que Jesperi a eu très peu de temps pour s'adapter à la vie nord-américaine.
Elle est toutefois rassurée par les trois autres Finlandais de l'équipe, Lehkonen, Niemi et Armia, puisque son fils peut parler dans sa langue maternelle, le finnois.
« J'aime être ici. C'est une belle ville. J'aime les partisans, ils sont incroyables », a déclaré Kati Kotkaniemi avec l'aide d'Emilia, la conjointe de Joel Armia, qui traduisait du finnois à l'anglais. « Quand j'ai entendu dire qu'il restait vraiment avec l'équipe, j'étais fière et excitée. »
Percer l'alignement d'une équipe de la meilleure ligue au monde à 18 ans est un exploit, ce qui rempli Kati de fierté. Jesperi a dû s'adapter très rapidement au style de jeu nord-américain et il n'a pas déçu, mais il a quand même été une source de nervosité pour sa mère, surtout lors du match d'ouverture du Canadien:
« C'est tellement un petit garçon et il y a d'énormes joueurs dans cette ligue », dit-elle avec le sourire. « Mais le regarder jouer a été incroyable. Il lit et comprend très bien le jeu. »
Madame Kotkaniemi est à Montréal depuis déjà 10 jours, mais elle avoue ne pas avoir eu le temps de visiter, puisqu'elle travaille dur pour s'assurer que son fils dispose de tout ce dont il a besoin, y compris de bons petits plats: « Poulet avec des pâtes.
Poulet et riz. Spaghetti bolognaise », a-t-elle énuméré lorsque questionnée sur les repas préférés de Jesperi. « C'est une excellente occasion de le soutenir à la maison. »
Kati doit partir le 24 octobre, mais elle a déjà hâte de revenir.
Elle indique que la popularité du Canadien augmente à vue d'oeil à Pori, leur ville en Finlande, et qu'elle se fait demander à tous les jours de rapporter des chandails ou casquettes, bref, des souvenirs du Canadien.
Elle avoue qu'il y aura beaucoup de choses du Tricolore à Pori maintenant, et que Jesperi est déjà la fierté de sa région!
Madame Kotkaniemi est à Montréal depuis déjà 10 jours, mais elle avoue ne pas avoir eu le temps de visiter, puisqu'elle travaille dur pour s'assurer que son fils dispose de tout ce dont il a besoin, y compris de bons petits plats: « Poulet avec des pâtes.
Poulet et riz. Spaghetti bolognaise », a-t-elle énuméré lorsque questionnée sur les repas préférés de Jesperi. « C'est une excellente occasion de le soutenir à la maison. »
Kati doit partir le 24 octobre, mais elle a déjà hâte de revenir.
Elle indique que la popularité du Canadien augmente à vue d'oeil à Pori, leur ville en Finlande, et qu'elle se fait demander à tous les jours de rapporter des chandails ou casquettes, bref, des souvenirs du Canadien.
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