Le grand manitou hockey de l'équipe pourrait procéder à une transaction majeure actuellement.
Selon l'avocat fiscaliste, Paul Ryan, l'organisation montréalaise se retrouve avec un coussin de plus de six millions de dollars avant la première rencontre de la saison, mercredi.
Tel que proposé par l'avocat fiscaliste, le Tricolore a plus de 6,4 millions de dollars à sa disposition avant d'atteindre le plafond salarial. Le montant pourrait être plus élevé quand on considère que 5,05 millions de dollars dorment dans la Ligue américaine de hockey.
À cela s'ajoute le rachat du contrat du gardien de but Steve Mason qui impacte la masse salariale de 1,367 million de dollars.
Si on enlève les joueurs avec des contrats à un volet qui sont actuellement avec le Rocket de Laval et le contrat racheté de Mason, le Tricolore aurait plus de 12,8 millions de dollars à sa disposition avant le match face aux Hurricanes de la Caroline mercredi.
Dans cette optique, Marc Bergevin pourrait frapper un coup de circuit d'ici quelques jours ou encore d'ici la date limite des transactions.
Advenant que le Tricolore lutte pour une place en séries, le directeur général de l'équipe pourrait offrir quelques bons jeunes joueurs avec un joueur d'impact pour acquérir un joueur de premier plan qui coûte plus de 8 millions de dollars.
Jonathan Drouin semble être la monnaie d'échange la plus appropriée pour une transaction majeure. Avec un salaire annuel de 5,5 millions, l'attaquant énigmatique pourrait exploser sous d'autres cieux. La formation montréalaise se retrouve dans une position favorable.
Avec l'arrivée de jeunes joueurs comme Nick Suzuki et Ryan Poehling, la fenêtre d'opportunité du Tricolore pour connaître du succès peut être plus près que bien des gens semblent penser.
De plus, le premier choix de l'équipe en 2018, Jesperi Kotkaniemi, prend de la maturité et pourrait devenir un rouage important de l'attaque cette année ou l'an prochain.
De plus, le Canadien devra garder de l'argent de côté puisqu'il devra signer son attaquant vedette Max Domi à la fin de la prochaine campagne.