Alain Vigneault fait son mea culpa
L'entraîneur-chef des Flyers de Philadelphie, Alain Vigneault, a expliqué ses commentaires de jeudi alors qu'il mentionnait n'avoir aucune idée de ce qui se passait dans le monde extérieur.
Il avait alors été interrogé sur Jacob Blake et ce qui se passait dans la NBA et dans le reste du monde du sport.
Vigneault a expliqué ce samedi qu'il était coupable de ne pas avoir vérifié ce qui se passait en NBA à l'époque mais qu'il était une bonne personne.
L'entraîneur, qui ne s'est pas adressé aux médias vendredi, a lu une déclaration préparée dans son appel Zoom avec les journalistes samedi.
« Dans la vie, je réponds à mes parents. Je réponds à ma famille. Je réponds à mes amis et je réponds à Dieu. Tous ceux que je viens de mentionner savent que ce que j'ai dit depuis notre après-match de mercredi est la vérité. Mon honnêteté, mon intégrité, mon engagement social, pour une raison quelconque, a été mis au premier plan. » - Alain Vigneault
« Après notre dernier match contre les Islanders de New York, on m'a posé des questions sur la situation en NBA. Nous avions joué un match à 3 heures, je ne savais pas ce qui se passait donc je n'ai pas fait de commentaire. Nous sommes revenus à 6 h 15 à l'hôtel. J'ai ramassé de la nourriture, pris un martini et suis allé travailler dans ma chambre. Nous jouions dans moins de 24 heures. J'ai travaillé tard dans la nuit, je me suis levé très tôt le lendemain matin. J'ai continué à travailler, j'ai dirigé ma réunion d'entraîneurs de 10 h 30 à 11 h 45. À 11 h 45, je suis allé faire un test COVID. À 12 heures, j'étais de retour pour la conférence de presse.
Je n'ai jamais pris la peine de demander ou de vérifier avec qui que ce soit ce qui se passait dans le monde ou dans la NBA. J'en suis coupable. J'étais totalement concentré sur notre prochain match. Comme je l'ai dit lors de la conférence de presse de 12 heures, je suis pour l'égalité, je suis pour la justice sociale.
Après cette conférence de presse, je suis allé à notre repas d'avant-match. J'y suis parti vers 12 h 35 et en sortant, j'ai vu les joueurs des quatre équipes qui sont dans la bulle parler. C'était ma première indication que quelque chose se passait. Peu de temps après, j'ai reçu un SMS d'un de mes joueurs m'informant qu'ils ne jouaient pas ce soir-là.
Je suis coupable de ne pas avoir vérifié ce qui se passait dans le monde et la NBA, mais je suis une bonne personne. Je crois en l'égalité. Je crois en la justice sociale. Je veux faire partie de la solution. Je veux aider la société de toutes les manières possibles.
À toutes les personnes qui m'ont envoyé un texto et m'ont appelé au cours des 48 dernières heures pour montrer leur soutien, je veux dire: "Merci et continuez à rester en sécurité ". À toutes les personnes au cours des 48 dernières heures qui ont mis en doute mon honnêteté, mis en doute mon intégrité, remis en question mon engagement social, je veux dire: "Vous aussi, restez en sécurité".
Vous savez, nous avons tous notre part à faire pour aider la société à résoudre ses problèmes. Peut-être que nous pouvons tous commencer par être bons les uns envers les autres. La société est comme une grande équipe, tout le monde a un rôle à jouer. Si nous travaillons ensemble et faisons nos rôles, je suis convaincu que nous pouvons résoudre les problèmes de société.
Je tiens à remercier tout le monde d'être ici. Tout le monde reste en sécurité et cela conclut la conférence de presse d'aujourd'hui. Merci. » - Alain Vigneault
Je n'ai jamais pris la peine de demander ou de vérifier avec qui que ce soit ce qui se passait dans le monde ou dans la NBA. J'en suis coupable. J'étais totalement concentré sur notre prochain match. Comme je l'ai dit lors de la conférence de presse de 12 heures, je suis pour l'égalité, je suis pour la justice sociale.
Après cette conférence de presse, je suis allé à notre repas d'avant-match. J'y suis parti vers 12 h 35 et en sortant, j'ai vu les joueurs des quatre équipes qui sont dans la bulle parler. C'était ma première indication que quelque chose se passait. Peu de temps après, j'ai reçu un SMS d'un de mes joueurs m'informant qu'ils ne jouaient pas ce soir-là.
Je suis coupable de ne pas avoir vérifié ce qui se passait dans le monde et la NBA, mais je suis une bonne personne. Je crois en l'égalité. Je crois en la justice sociale. Je veux faire partie de la solution. Je veux aider la société de toutes les manières possibles.
À toutes les personnes qui m'ont envoyé un texto et m'ont appelé au cours des 48 dernières heures pour montrer leur soutien, je veux dire: "Merci et continuez à rester en sécurité ". À toutes les personnes au cours des 48 dernières heures qui ont mis en doute mon honnêteté, mis en doute mon intégrité, remis en question mon engagement social, je veux dire: "Vous aussi, restez en sécurité".
Vous savez, nous avons tous notre part à faire pour aider la société à résoudre ses problèmes. Peut-être que nous pouvons tous commencer par être bons les uns envers les autres. La société est comme une grande équipe, tout le monde a un rôle à jouer. Si nous travaillons ensemble et faisons nos rôles, je suis convaincu que nous pouvons résoudre les problèmes de société.
Je tiens à remercier tout le monde d'être ici. Tout le monde reste en sécurité et cela conclut la conférence de presse d'aujourd'hui. Merci. » - Alain Vigneault
Les Flyers joueront le troisième match de leur série contre les Islanders de New York ce samedi soir à 20 h 00.
La série est égale 1 à 1.
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